Ikumi-School V2
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 Lena Delacour

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AuteurMessage
Lena Delacour
Nouvel arrivant
Lena Delacour


Féminin
Nombre de messages : 9
Age : 30
Moitié animale : Furet
Clan : Masaru
Date d'inscription : 21/01/2009

Feuille de personnage
Âge du personnage: 15 ans
Date d'anniversaire: 13/09/1991

Lena Delacour Empty
MessageSujet: Lena Delacour   Lena Delacour Icon_minitimeMar 17 Fév - 13:13

Nom:
Delacour

Prénom:
Lena

Âge:
15 ans

Pourquoi Masaru:
Parce que la famille de sa mère appartient à ce clan et qu'elle s'y est trouvée automatiquement.

Quel animal?:
Furet


Description physique :

« Bon, très bien. Alors je vais tenter de me décrire comme je suis réellement, sans m’embellir et sans me rabaisser bien que je ne trouve pas ceci utile étant donné que je me trouve devant vos yeux en chair et en os. Etes-vous aveugle mon cher?
- Je suis grande. Ma taille exacte ? Je l’ignore. La dernière fois que je me suis mesurée je faisais 1m70. Je ne pense pas avoir vraiment grandi depuis. Je suis mince, non pas maigre, mais mince. J’ai quand même des formes au niveau des hanches et de la gorge. J’ai des cheveux roux, à la limite de l’orange, qui descendent jusqu’aux reins et des yeux verts, clairs ou foncés selon le degré de luminosité. Malgré le fait que ma peau soit très claire et que je sois rousse, je n’ai aucune tâche de rousseur. Personne ne le remarque mais je trouve personnellement que c’est assez étrange… Au niveau de l’habillement, je porte très habituellement des vêtements clairs, dans les tons blancs ou orangés et quelques fois bleus. Je mets souvent des gants et mes cheveux sont le plus clair du temps attachés en deux couettes ou bouclés à l’anglaise, ce qui cache les petites oreilles de furet dont j’ai été dotée. En parlant de ces dernières, elles ne sont pas toujours présentes mais j’ai des oreilles allongées comme celles des elfes pendant le temps de leur absence. A vrai dire, physiquement on ne peut pas deviner ma moitié animale. Mentalement non plus j’imagine. C’est sûrement ma façon de me déplacer qui me trahit puisque je ne marche pas vraiment, je « glisse » sur le sol très rapidement.
Voilà, je pense avoir fini. Je n’ai pas grand chose d’autre à ajouter, même rien du tout de plus à dire. Suite ? »

Description mentale :


« Mentalement ? Et bien je suis normale voilà tout, pourquoi ? Vous pensiez que j’étais psychologiquement atteinte ? Non je ne le suis point. Enfin… j’ose l’espérer… Ah, simplement décrire mon caractère ? Très bien, je vous prie de m’excuser.
- Je ne suis pas très démonstrative, je n’accorde que très rarement ma confiance et elle n’est jamais totale à une exception près. Quand je parle, c’est que j’estime que cela est utile. Je déteste parler pour ne rien dire, ou pour dire quelque chose qui n’apportera rien. On pourrait dire que je suis une personne intéressée, c’est vous qui voyez. Si vous souhaitez juger, c’est comme vous cela vous plait, je ne me défendrais pas. Evidemment, je n’ai rien contre les personnes qui parlent à longueur de journée, je les respecte pour le fait qu’elles ne trouvent pas gênant les paroles sans intérêt. Certaines de ces personnes me sont même sympathiques car elles remplissent une conversation et évitent les blancs que beaucoup trouvent désagréables bien qu’ils ne me dérangent absolument pas. La parole est très rassurante pour certains, pour moi, c’est le regard qui compte. Je peux définir dans l’oeil d’une personne si elle ment, si elle est sincère, si elle est empathique ou pas, si ses pensées sont perturbées, agréables ou négatives… J’ai la chance de pouvoir faire passer beaucoup de choses dans un coup d’œil. C’est efficace sur à peu près tout le monde, je ne cache pas qu’il y ait des exceptions, dommage pour elles, j’ai l’habitude de consoler comme cela, non par la parole et cela ne changera pas de sitôt, pour n’importe qui que cela soit. Si vous n’êtes pas sensibles aux regards, tant pis pour vous… Parler est pour moi un acte effectué uniquement dans la nécessité, je pense donc toujours ce que je dis et ne mens jamais. Pour ne pas blesser une personne par la vérité, je me contente d’ « omettre » certains détails. Je ne laisse jamais paraître mes émotions c’est ainsi que tout le monde pense que je suis inébranlable ce qui est faux, évidemment, je suis un être humain et j’ai des sentiments bien que je préfère les garder pour moi. Ma confiance est très dure à acquérir car j’ai la fâcheuse habitude de juger une personne sur son apparence, je me contente souvent de la première impression. Malgré l’expression « l’habit ne fait pas le moine », cette manie m’a permit d’éviter bien des désagréments. Même si ce « test » est positif, je reste sur mes gardes et analyse toutes les actions et paroles de mes interlocuteurs. Comme vous pouvez l’imaginer, je n’ai que peu de véritables amis mais je leur accorde une confiance presque totale. J’ai un ami qui m’est vraiment très cher, je sais tout de lui et il sait tout de moi, nous nous connaissons depuis toujours et ne nous sommes jamais quittés… jusqu’à aujourd’hui… Il est le seul dont je suis sûre à 100% de la sincérité et de la bonne volonté. Je suis prête à absolument tout pour lui et lui voue une confiance aveugle. Il fait également tout ce que je lui demande sans poser de question car nous savons très bien tout deux que nous ne nous demanderions jamais rien de mauvais. Evidemment, si je ne me défends pas par la parole, j’ai d’autres méthodes. Je contrôle très bien les armes à feu et ai une excellente maîtrise des lames et autres armes blanches. Ayant pris des leçons depuis que je suis enfant, je me défends très bien et je porte toujours sur moi une ou plusieurs lames dans mes gants ou mes bottes et un revolver attaché à ma cuisse bien que les armes soient interdites au Japon. A part cela, on me dit souvent que je parle japonais avec un accent français très "sexy". Personnellement, je crains de ne pas comprendre comment un accent peut être "sexy"…
Et bien voilà, je pense en avoir fini avec vous. C’est très pénible cet interrogatoire. Vous devriez le supprimer. Je peux aller dans mon nouveau lycée maintenant? »

Histoire :

« Pourquoi donc mère ?
- Oh Lena, vous voyez bien que je parle avec Marie !
- Eh bien Kyoko mon amie, votre fille a l’air d’apprécier la discussion ! Elle est curieuse et c’est une bonne chose, ne la disputez donc pas ainsi.
- Oh oui mais elle l’est sans doute trop, que des questions à longueur de journée je ne peux pas toutes y répondre tout de même !
- Pourquoi ?
- Lena, laissez-nous parler s’il vous plait, votre mère et moi sommes dans une conversation importante.
- Vous voyez ! « Pourquoi, pourquoi », je ne puis plus le supporter !
- Je vous comprends mieux à présent. »
Depuis qu’elle savait parler (ce qu’elle avait d’ailleurs apprit à faire précocement), Lena avait toujours cherché à tout comprendre et passait ses journées à débiter un nombre extrêmement important de mots par minute. Sa mère était au départ enthousiaste mais s’en est vite lassée. A trois ans, Lena parlait déjà comme une adulte, avec un niveau de langage soutenu comme ses parents et les personnes l’entourant. Effectivement, bien que le XVIIIème siècle soit fini depuis longtemps, les Delacour avait continué de parler comme à cette époque. Ils habitaient depuis de nombreuses générations dans une très grande villa à Paris, en France et passaient leurs vacances dans leur maison de campagne, vers Lyon, plus au Sud. Ils vivaient comme les nobles d’autrefois. Ayant toujours fonctionné de cette façon, aucun des membres de cette famille n’avait jamais pensé à s’occuper autrement. Les enfants prenaient des cours particuliers à domicile, donné par des professeurs qui avaient déjà éduqué leur parents et dont les ancêtres étaient déjà professeurs pour la génération précédente des Delacour. Ce n’était donc pas étonnant qu’ils parlent comme deux siècles auparavant puisqu’ils ne sortaient pratiquement jamais de leur maison et que même les serviteurs et les cuisiniers appartenaient tous à la même famille. Ils étaient vraiment à l’écart du monde entier et ne se souciaient pas de lui et de son actualité, vivant dans leur bulle dans le passé.
« Regardez mon ami, c’est ainsi qu’il faut tenir une épée.
- Oh Lena, c’est si difficile ! Je ne crois point que je puisse y arriver !
- Voyons ce n’est pas bien dur ! Comme ceci… Eh bien voilà, tu y arrives !
- Oui, tu es un professeur génial !
{Rires des enfants}
- Marie, nos enfants s’entendent vraiment bien, peut-être pourrions-nous les marier plus tard ?
- C’est vrai qu’ils sont très proches mais laissons-les décider de leurs futurs amours.
- Vous avez raison, c’est sans doute préférable. »
Lena et le fils de la meilleure amie de Mme Delacour avaient toujours vécu ensemble et purent se comprendre d’un simple regard quand ils approchèrent de leur dixième année. Après la mort du père de ce garçon (quand ils avaient 11ans), il emménagea avec sa mère, Marie, dans la villa Delacour. Les deux enfants ne se quittaient jamais et avaient même trouvé le moyen de dormir ensemble. Ils commencèrent à parler de moins en moins, passant de longs moments à se regarder, discutant ainsi, s’entraînant le plus clair de leur temps aux arts martiaux et au maniement d’armes diverses. C’est quand elle eu 13 ans que Lena vit pour la première fois ses oreilles de furet. Elle en fut totalement déstabilisée et se cacha dans sa chambre plusieurs jours sans manger et sans boire. Son ami parvint à entrer dans la pièce au bout de cinq jours et mit deux jours pour la rassurer pendant que les parents s’inquiétaient devant la porte. En une semaine, Lena changea radicalement de comportement. Ne supportant que la présence du garçon, elle cessa de parler presque totalement et ne laissa plus paraître aucune émotion. A quatorze ans, elle finit par confier son secret à Marie en lui faisant promettre de ne rien dire à personne mais celle-ci dévoila toute l’affaire aux parents de Lena. Se sentant trahie, elle se jura de ne jamais plus faire confiance à personne et s’enfuit de chez elle un an plus tard pour aller dans le pays d’origine de sa mère, le Japon car elle ne savait parler que français et japonais. On lui appris que toute la famille de sa mère appartenait à un clan nommé les "Masaru", ne voyant pas pourquoi elle ne devrait pas en faire autant elle rejoignit ce clan sans plus attendre. Elle entendit parler du pensionnat Ikumi et s’y rendit aussitôt. Avant d’entrer dans l’établissement, elle écrivit une lettre au garçon :

« Mon cher ami,
Me voilà loin à présent. J’espère que tu te portes toujours aussi bien que lorsque je t’ai quitté. Je suis actuellement au Japon, c’est très gentil ici. Je m’apprête à entrer dans un pensionnat où ne sont admises que les personnes “comme moi”. On ne peut normalement pas en sortir mais rassure toi, j’essaierais de te rendre visite. D’après ce que l’on m’a dit, le pensionnat vient d’ouvrir ses portes après avoir été fermé six mois durant et des pensionnaires ont pu rentrer chez eux pendant ce laps de temps. Il ne doit donc pas être si impossible d’en sortir.
J’aimerais tellement que tu sois près de moi… Tu me manques énormément. Si tu savais comme j’ai besoin de toi ! Je voudrais te voir devant moi et pouvoir te toucher, me coucher près de toi le soir et dormir sur ton torse. Malheureusement, remettre les pieds dans la demeure familiale m’est trop difficile et n’ayant aucune autre connaissance dans le reste de la France, je ne puis point rester dans ce pays bien-aimé. Pour toi seulement je reviendrais, je ferais un effort si tu me le demandais mais je t’en pris, ne le fais pas, je ne pourrais pas le supporter. L’idéal serait que tu vienne au Japon mais il faudrait déjà que tu apprennes la langue et je ne t’y obligerais pas. Tu es heureux là-bas contrairement à moi et je ne désire point te nuire de quelque façon que cela soit.
Je te souhaite énormément de bonheur. Trouve-toi une gentille épouse et tache de m’oublier si jamais je ne parvenais point à venir te voir. Pour ma part je ne cesserais jamais de penser à toi. Je te joins l’adresse du pensionnat au dos de cette missive si par hasard tu souhaitais me contacter.

Infiniment tienne.
Je t’aime.
Ton amie, Lena »


Et voila j'ai enfin fini! XD
(C'te lente...)
Enfin bref je me VALIDE xD
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Lena Delacour
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