Seika Nakamura

Contente d'être de retour =)

(Rahh je déteste faire des descriptions! >__<")

Nom : Nakamura

Prénom : Seika

Age : 16 ans

Pourquoi Masaru: Bonne question...

Quel animal: Le loup

Description physique : Une peau glacée aussi blanche que l'ivoire, des yeux rouges sangs, un visage délicat et fin, de longs cheveux marrons foncé, fluides et lisses, qui lui tombent en bas du dos, une beauté froide tout simplement. Souvent admiré, regardé par tous, elle a une beauté naturelle donc elle n'ésite pas à se servir. Elle a un corp fin, très peu de poitrine et des vêtements qui mettent en valeur ses quelques formes. Ses yeux d'un rouge inquiétant et mystérieu sont impénétrables, ce ne sont certainement pas eux qui vous permettront de savoir ce qu'elle pense. Pourtant son visage rougit à la moindre émotion et son sourire(Bien qu'il soit rare) est très dou et réconfortant.

Descriptions psychologiques : Son caractère... changeant. Selon son humeur où selon la personne à qui elle s'adresse. Elle peut se montrer aussi douce que le miel ou alors se montrer aussi froide que la glace. Son visage quand à lui reste toujours assez terne, sérieux, calme, neutre voir froid quelque fois. Elle ne sourit que très rarement de son plein grés. Pourtant, elle pourra être assez gentille, à l'écoute et amical par moment, même si ça reste quand même assez rare. Elle est très mature mais elle aime avoir le dessus sur les autres quoi qu'il arrive. Il vous faudra beaucoup de patience pour découvrir la personne sympathique qui sommeil en elle. Elle est ironique et particulièrement égoïste, elle ne vous rendra un service que si elle est sûr d'avoir quelque chose en échange. Elle est d'une nature désagréable mais elle ne réagit jamais ni aux insultes ni aux remarques. Légèrement perverse voir vicieuse c'est une partie d'elle même qu'elle ne montre qu'a de très rares occasions. C'est une personne posée et réfléchi, mais elle cache très mal ses sentiments et elle ne sait absolument pas mentir. Elle n'accorde sa confiance à personne et refuse de s'attacher à qui que ce soit, elle ne compte que sur elle même. Elle a peur de l'orage. Même si elle montre malgrés elle ses sentiments, elle ne pleure presque jamais devant les gens.

Histoire : « Alors comme ça, mon histoire t'intéresse ? »

Mon interlocuteur se contenta d’acquiescer en souriant. J’inspirai un grand coup, hésitante, me demandant si c’était une bonne idée, mais son regard dévoré par la curiosité me convaincu. J’avalai ma salive et commença :

« Ma mère m’a abandonné à l’âge de 8 ans. C’était simplement une femme fêtarde qui ne faisait pas vraiment attention pendant les soirées. Elle avait trop bu et malheureusement pour elle ce fut ce soir là que j’apparu dans son ventre. Elle songea d’avorter, ne sachant même pas qui était le père, mais sur un coup de tête elle me garda, pensant sûrement qu’il suffirait de me coller devant la télé avec un biberon pour que je me tienne tranquille. Bien sûr, peu de temps après l’accouchement elle comprit enfin que ce n’était pas exactement comme cela que l’on s’occupe d’un bébé. Elle me laissa à la maison, quelque fois pendant des heures, encore aujourd’hui je me demande comment j’ai fait pour rester en vie. Tout ce qu’elle faisait c’était me serrer dans ses bras et me dire qu'elle m'aimait, qu'elle m'aimait trop pour me montrer à qui que ce soit, elle me voulait pour elle seule. Tout cela en cachant merveilleusement bien le dégoût qu'elle éprouvait envers moi, je pense donc que je tiens mon incapacité à mentir de mon père. Je n'allait pas à l'école, je grandis en regardant les enfants jouer dehors de ma fenêtre. J'attendais quelque chose sans savoir quoi... Peut être un signe d'affection sincère de sa part, je ne sais pas. Je me regardais dans le miroir, me demandant qu'est-ce qui pouvait faire que ma mère me déteste à ce point. Mon regard, ma peau d'ivoire? Encore aujourd'hui je l'ignore, j'aurai voulu qu'elle m'accepte, mais c'était peine perdu.
J'avais 8 ans et ma mère me dit de l'attendre dans notre appartement. Je l'ai attendu pendant des heures et des heures, peut être même des jours je ne me souviens plus vraiment. Je suis sorti, pour la première fois de toute mon infime vie. J'ai sentie le soleil, le vent, c'était une sensation si étrange, je crois que je m'en souviendrai toute ma vie. Je l'ai cherché dans la ville, seule, jusqu'a ce qu'un agent de police m'emmène au commissariat. C'était un monsieur adorable et très gentil avec moi, le temps qu'ils essayent de retrouver ma mère j'étais avec lui. Il me parlait de sa vie, de sa famille, de son fils adoptif. Sa douceur me réconfortait, j'en avais presque oublié la peur que j'avais en moi.
Quelques heures plus tard on m'apprenait que ma mère s'était donnée la mort. J'ai pleuré et il m'a consolé. A l'époque je ne le savais pas mais maintenant je suis presque sûr qu'elle s'est donnée la mort à cause de moi. Je la dégoutait, elle avait honte de moi. Je m'en veux, je ne voulais pas qu'elle meur. Je l'aimais tellement, je l'aimais vraiment. Je n'ai jamais voulu savoir comment elle s'est donnée la mort, c'est mieu comme ça. Les adultes autour de moi m'accusait, disait que c'était moi qui l'avait tué, que c'était de ma faute, qu'en venant au monde je l'avais tué. Il n'y avait que lui, ce gentil monsieur, qui ne m'a jamais jugé. Il avait déjà adopté un garçon alors avec sa femme ils m'ont receuilli, ils m'ont envoyé à l'école alors que je ne savais ni lire, ni compter. Ils m'ont donné de l'amour, de la tendresse, je me sentais tellement bien avec eux. Puis je t'ai rencontré, toi aussi tu avais été adopté à la suite de la mort de tes parents. Je ne sais pas si tu te souviens de la première chose que tu a dis quand nous nous sommes rencontrés. Tu avais 12 ans et je n'en avais que 8, tu m'as dis que je te faisais peur. Tu étais si mystérieu, si solitaire, un peu comme moi, nous ne nous parlions pas beaucoup et pourtant on se ressemblait énormément. Au final, on a même réussit à devenir ami.
Vous êtes devenus ma famille, je tenais plus à vous qu'a n'importe qui. Puis vient cette soiré. Il y avait de l'orage dehors, il faisait nuit et papa Hatori n'était pas encore rentré, nous l'attendions en silence du travail avec maman Kaede. Il ne rentrait toujours pas... quelques heures plus tard on apprenait qu'il avait été tué lors d'un bracage qui avait mal tourné. Cette nuit là je n'avais pas simplement pleuré, j'ai vidé toute l'eau de mon corps. Je tenais à lui plus que tout, comme toi d'ailleurs. C'était il y a un moi déjà. Je devrais être forte et continuer à vivre, mais je n'ai pas la force de rester avec vous. Je dois partir, même si ça implique de ne plus vous revoir. »

Je me tus, ayant fini mon récit. Il tourna la tête vers moi, je devinai qu'il cherchait les mots justes:

« Tu es sûr de ta descision? »

« Oui sûr, mais regarde la route s'il te plait Yatsu. Je ne tiens pas à me manger un mur. »

Autre: FINISH! XD Désolée histoire simplette mais j'ai eu beaucoup de mal à trouver quelque chose :p

nyuuu<3
le retour ^^

j'attends l'histoire =3

Yosh yosh enfin fini! ^^"

Thank's Ai-Line <3